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Eliminée, hélas !
COUPE DE LA CONFEDERATION CAF 1/2 de finale : USM Alger 2 – 0 ASEC Mimosas

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Nouvelles du club
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Tout reste à faire !

Les matches s’enchaînent à un rythme effréné et avec eux les résultats positifs, ce qui dénote, pour l’instant, d’une bonne gestion de l’effectif Mimosas. Il est assez remarquable d’observer l’implication de tous les joueurs en cette période décisive alors que certains pourraient être déçus de jouer peu ou pas du tout. C’est tout le contraire que nous observons et c’est à mettre au crédit de l’ensemble de l’encadrement. Tous sont concernés et savent que c’est en donnant le meilleur d’eux-mêmes chaque jour à l’entraînement ou lors de leurs entrées en jeu, qu’ils attireront l’attention de leurs entraîneurs pour gagner du temps de jeu.

A l’orée de certaines grandes compétitions, il n’est pas rare d’entendre parler d’esprit commando pour définir l’état d’esprit qui doit prévaloir chez les joueurs et le staff. Alors que nous avons déjà dépassé les 2/3 de la saison, les matches les plus importants arrivent à grand pas et il est heureux de voir que tous s’y préparent méticuleusement et avec détermination.

La gestion d’un effectif est un exercice particulièrement complexe et nous en ferons le bilan à l’issue de ces dix dernières semaines de compétitions. Certains observateurs préconisent d’opérer un turn-over pour les matchs de Ligue 1 comme lors de la rencontre disputée hier contre Sol FC, à quelques jours du ¼ de finale aller de la Coupe de la Confédération contre les Tunisiens de l’US Monastirienne. C’est une option mais n’oublions pas que s’il est important de gérer l’état de fatigue des joueurs, les techniciens doivent aussi avoir à leur disposition des joueurs en rythme et en jambe pour être les plus performants possibles. L’équation n’est pas simple mais doit absolument être résolue au mieux !

De même, si les 3 compétitions dans lesquelles nous sommes encore qualifiés ne jouissent pas du même prestige, elles peuvent chacune s’avérer décisives en fin de saison et aucune ne doit être négligée. Faut-il faire l’impasse sur certains matchs de Ligue 1, alors que, malgré notre avance, rien ne nous garantit la conquête d’un 29ème titre avec la nouvelle formule Play-offs qui se profile. Tous les points seront importants au moment du décompte d’autant plus qu’ils seront divisés par 2. Et en cas d’accident dans cette compétition, la 2ème place qualificative pour la Coupe d’Afrique sera attribuée au vainqueur de la Coupe Nationale qui redevient importante à ce titre.

Rien ne sera facile, jusqu’au coup de sifflet final de la saison, nous le savons. Il faudra savoir conserver cette « GNAQUE » qui nous caractérise cette saison jusqu’au bout. Et alors, tous les champs du possible seront ouverts et soyons certains que le meilleur nous attend !
Benoît YOU

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Une bonne option
COUPE DE LA CONFEDERATION CAF 1/4 de finale : US Monastir 0 – 0 ASEC Mimosas

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LIGUE 1 22e journée en retard / ASEC Mimosas 1 – 0 SOL FC
Le plein de confiance avant Monastir

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Garder cette « GNAQUE »
p>Les matches s’enchaînent à un rythme effréné et avec eux les résultats positifs, ce qui dénote, pour l’instant, d’une bonne gestion de l’effectif Mimosas. Il est assez remarquable d’observer l’implication de tous les joueurs en cette période décisive alors que certains pourraient être déçus de jouer peu ou pas du tout. C’est tout le contraire que nous observons et c’est à mettre au crédit de l’ensemble de l’encadrement. Tous sont concernés et savent que c’est en donnant le meilleur d’eux-mêmes chaque jour à l’entraînement ou lors de leurs entrées en jeu, qu’ils attireront l’attention de leurs entraîneurs pour gagner du temps de jeu.

A l’orée de certaines grandes compétitions, il n’est pas rare d’entendre parler d’esprit commando pour définir l’état d’esprit qui doit prévaloir chez les joueurs et le staff. Alors que nous avons déjà dépassé les 2/3 de la saison, les matches les plus importants arrivent à grand pas et il est heureux de voir que tous s’y préparent méticuleusement et avec détermination.


La gestion d’un effectif est un exercice particulièrement complexe et nous en ferons le bilan à l’issue de ces dix dernières semaines de compétitions. Certains observateurs préconisent d’opérer un turn-over pour les matchs de Ligue 1 comme lors de la rencontre disputée hier contre Sol FC, à quelques jours du ¼ de finale aller de la Coupe de la Confédération contre les Tunisiens de l’US Monastirienne. C’est une option mais n’oublions pas que s’il est important de gérer l’état de fatigue des joueurs, les techniciens doivent aussi avoir à leur disposition des joueurs en rythme et en jambe pour être les plus performants possibles. L’équation n’est pas simple mais doit absolument être résolue au mieux !


De même, si les 3 compétitions dans lesquelles nous sommes encore qualifiés ne jouissent pas du même prestige, elles peuvent chacune s’avérer décisives en fin de saison et aucune ne doit être négligée. Faut-il faire l’impasse sur certains matchs de Ligue 1, alors que, malgré notre avance, rien ne nous garantit la conquête d’un 29ème titre avec la nouvelle formule Play-offs qui se profile. Tous les points seront importants au moment du décompte d’autant plus qu’ils seront divisés par 2. Et en cas d’accident dans cette compétition, la 2ème place qualificative pour la Coupe d’Afrique sera attribuée au vainqueur de la Coupe Nationale qui redevient importante à ce titre.


Rien ne sera facile, jusqu’au coup de sifflet final de la saison, nous le savons. Il faudra savoir conserver cette « GNAQUE » qui nous caractérise cette saison jusqu’au bout. Et alors, tous les champs du possible seront ouverts et soyons certains que le meilleur nous attend !
Benoît YOU

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LIGUE 1 24e journée / ASEC Mimosas 2 – 0 SC Gagnoa
L’ASEC prend ses distances

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Football féminin D2 / J3 / JFC GRAND BASSAM - ASEC MIMOSAS
L'ASEC Mimosas garde la cadence

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LIGUE 1 18e journée en retard / FC San Pedro 1 – 1 ASEC Mimosas
L’ASEC et L’AFAD se séparent dos à dos

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Un feu de paille

Dans l’agriculture, l’élevage ou l’architecture, la paille est bien utile pour servir de litière aux animaux, protéger les sols, nourrir certaines bêtes ou couvrir joliment certaines toitures. Après la moisson des céréales (le blé, l’avoine, l’orge, le seigle ou le riz), les tiges sont coupées et mises en botte pour former la paille. Si elle peut donc être bien utile dans certains domaines, il est bien connu (par les « 3 petits cochons » notamment) qu’elle n’est pas le matériau idéal pour construire des maisons solides et durables. De même, son feu, bien qu’il flambe très vite et semble annoncer de belles perspectives, est très éphémère. Ainsi parlera-t-on d’un « feu de paille » pour désigner ce qui commence de façon vive mais ne dure pas.

Ce matériau, tout séduisant qu’il puisse être, est donc bien trompeur et ne produit que très peu d’effets bénéfiques sur la durée. Un club construit avec des matériaux de ce type, sans fondements et avec comme seul outil la caisse de résonnance que constituent les réseaux sociaux, a peu de chance de s’inscrire dans le temps.

De notre côté, nous avons préféré construire notre club avec d’autres matériaux, plus solides, plus durables et plus nobles, sur lesquels l’on peut s’appuyer, à tout moment et par tous les temps. Du bon bois plutôt que de la paille, de la pierre plutôt que du sable, des Hommes plutôt que des mots, des principes forts plutôt que des gesticulations. C’est certainement moins tapageur et moins bling-bling que d’autres méthodes, mais ô combien beaucoup plus efficace ! Nos résultats depuis plus de 30 ans le prouvent même si certains prennent un malin plaisir chaque année à s’interroger sur le bien-fondé de notre modèle et sur la capacité de nos dirigeants à poursuivre leur mission.

Nous sommes heureux de voir émerger quelques structures sportives, encore trop rares cependant, qui font ce choix de la construction. Cette voie est longue et difficile et ne donnera pas de fruits immédiats. Il faudra s’acharner, se battre chaque jour et poursuivre dans cette voie avec conviction et détermination. Et un jour, à n’en point douter, un peu de lumière surgira indiquant que cette voie est la bonne et qu’il faut continuer à se battre. Les moments de joie sont finalement assez rares mais tellement précieux qu’ils nous donnent l’envie de poursuivre l’aventure pour s’en procurer de nouveaux.

A chacun son modèle, même s’il n’est pas très difficile de voir celui qui marche et celui qui périclite aussi vite que son ombre. Mais la vie est ainsi faite, qu’il y aura toujours des gens pour continuer à suivre aveuglément la mauvaise route !
Benoît YOU

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LIGUE 1 - 18e journée en retard / FC San Pedro 1 – 1 ASEC Mimosas
L’ASEC prend une longueur d’avance

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20 sur 20

Ce n’est pas la note que notre rédaction a décidé d’attribuer à notre équipe professionnelle pour sa brillante qualification pour les ¼ de finale de la Coupe de la Confédération même si elle la mériterait amplement.

Il s’agit plutôt d’une statistique de plus en plus rare dans le football mondialisé actuel puisqu’il s’agit du nombre de joueurs de nationalité ivoirienne sur la feuille de match de notre dernière rencontre contre Rivers United. Sur les 16 équipes engagées dans cette compétition, le Réal Bamako (Mali) était la seule autre équipe à n’avoir aucun joueur de nationalité étrangère sur le terrain et sur le banc lors de ses matchs de groupes. En ce qui nous concerne, un seul joueur non-ivoirien a participé à cette compétition, la récente recrue ghanéenne ZUMAH Richard, qui a disputé 69 minutes au cours des 6 matchs de groupes (24 mn contre Motema Pembe lors de la 1ère journée et 45 mn contre Rivers United lors de la 2ème journée).

Que penser de cette situation inhabituelle pour notre club qui a connu de grands joueurs africains dans ses rangs, de Santos BROWN (Libéria) à John ZAKI (Nigéria) en passant par Justice MOORE (Ghana), Dan Foester KODJO (Ghana), ZONGO Mamadou (Burkina Faso) ou encore Isaya JATAU (Nigéria) ? Comment l’expliquer et comment comprendre que malgré tout, nous obtenions des résultats positifs sans cet oiseau rare venu d’ailleurs que tout le monde recherche ?

Dans un premier temps, il faut faire le bilan des recrutements de joueurs étrangers au cours des dernières années et avouer qu’ils n’ont pas été extraordinaires. Les derniers joueurs en provenance de pays africains à avoir performé dans notre club sont certainement le ghanéen SEKYERE Mark et le gardien de but burkinabè Hervé KOFFI.

Cette difficulté d’attirer les meilleurs joueurs africains peut certainement s’expliquer par l’attractivité de notre club (et de la majorité des clubs africains), ces joueurs étant avant tout focalisés (comme les nôtres) par les sirènes européennes. Quitte à revenir plus tard mais ne voulant pas laisser passer une opportunité en Eldorado, même si celle-ci est très souvent aventureuse car trop précoce et mal préparée.

Une autre statistique est frappante et éclaire ce qui précède : sur les 20 joueurs ivoiriens présents sur cette même feuille de match contre Rivers United, 12 (soit 60%) ont déjà eu une expérience dans un club étranger et ont fait le voyage retour pour jouer dans notre club (et 8 sur les 11 titulaires soit 72 % !). Ainsi, même les joueurs ivoiriens (mis à part ceux formés à l’Académie MimoSifcom qui passent en général par la case équipe professionnelle avant de s’expatrier) font d’abord le choix de l’expatriation avant éventuellement de revenir au bercail.

On note d’ailleurs cette nouvelle tendance dans le recrutement des clubs africains qui vont beaucoup moins chercher les joueurs africains étrangers dans leur pays d’origine, mais plutôt dans des clubs européens dans lesquels ils sont en difficulté, pour les relancer sur le continent.

Dès lors, bien que notre effectif ne compte pas de joueurs non-ivoiriens, il dispose en son sein des joueurs ayant vécu un certain nombre d’expériences internationales plus ou moins réussies, ce qui fait d’eux des joueurs revanchards mourant d’envie de prouver leur talent pour leur club et pour leur pays.

A tous, nous souhaitons le meilleur.


Benoît YOU

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FOOTBALL FÉMININ Championnat D2 2e Journée ASEC Mimosas - HIRE FC
L'ASEC Mimosas enchaîne avec 2ème victoire (11-1)

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L’ASEC termine en tête de la poule B
COUPE DE LA CONFEDERATION CAF 6e journée de la phase de poules : ASEC Mimosas 1 – 0 Rivers United FC

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Sur tous les tableaux

La victoire et la qualification lors des 1/16èmes de finale de la Coupe Nationale obtenues ce dimanche face à l’équipe de Songon FC (Ligue 2) n’a surpris personne mais la rencontre fût âpre comme toutes celles qui se disputent dans ces compétitions à élimination directe entre équipe de divisions différentes. C’est le charme de la Coupe Nationale qui avait disparu du calendrier depuis quelques saisons et que nous sommes très heureux de voir réapparaître malgré un programme chargé.


Nous voilà désormais inscrits et qualifiés dans les 3 compétitions majeures de clubs prévues cette saison. Pour revenir sur le calendrier, ces différentes qualifications causent un sacré casse-tête à ceux qui ont la charge de planifier les matchs car, avec la contrainte de clôturer la saison au 30 Juin 2023, chaque jour qui passe rend plus tendue cette programmation.


En effet, au cours des 90 prochains jours, notre équipe va devoir disputer 17 matchs de Ligue 1 (Play-Off compris), entre 3 et 7 matchs de Coupe d’Afrique (en fonction de nos résultats) et entre 1 et 4 matchs de Coupe Nationale (également en fonction de nos résultats), soit un total de matchs compris entre 21 et 28, tout en prenant en compte les déplacements à l’étranger et les éventuels reports de matchs en raison des intempéries comme cela arrive parfois au mois de Juin. Sacré casse-tête à venir donc, mais pour lequel nous nous adapterons comme nous l’avons toujours fait.


Mais pour cela, il faudra pouvoir compter sur toutes nos forces vives et c’est pourquoi le turn-over réalisé par notre coach lors du dernier match prend tout son sens en permettant aux cadres de souffler et aux autres de se montrer et au coach de leur montrer qu’il compte sur tout le monde. Souvenons-nous du scénario de la finale retour de la Ligue des Champions 1998 avec notre double-buteur KAMARA Vassanogo qui avait très peu joué tout au long de la saison !


Car pour que cette saison bien démarrée soit une réussite, il faudra gagner des titres, ce qui, pour l’heure, est loin d’être fait pour notre club. La nouvelle formule de la Ligue 1, bien qu’attractive pour le suspense et donc pour le public, donne peu de garanties aux équipes qui auront dominé la saison régulière. Dès lors, si nous avions été champions de Côte d’Ivoire la saison dernière 5 journées avant la fin de la compétition, ce ne sera pas le cas cette année. Il faudra batailler jusqu’au bout, tout en se battant pour aller le plus loin possible dans les 2 coupes avec des matchs à élimination directe, tous aussi incertains.

Cela annonce une fin de saison palpitante dont le bilan est particulièrement difficile à prévoir.
Benoît YOU

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Un début en fanfare
FOOTBALL FÉMININ 1ère journée

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COUPE NATIONALE / 16es de finale : Songon FC – ASEC Mimosas
Les Mimos passent haut la main

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De la suite dans les idées !

La qualification pour les ¼ de finale de la Coupe de la Confédération obtenue ce dimanche à Luanda face aux congolais du Daring Club Motema Pembe (DCMP) a fait le grand bonheur des Actionnaires qui attendait ce moment depuis si longtemps, la dernière fois que notre club était sorti des poules datant de 2006 en Ligue des Champions pour affronter l’ogre égyptien d’Al Ahly en ½ finale.


Depuis cette date, notre club a participé à 8 phases de groupes dans les différentes Coupes d’Afrique et n’avait jamais retrouvé la clé pour en sortir par le haut. Cela faisait trop longtemps pour un club comme le nôtre mais il fallait s’y résoudre, certainement que notre niveau ne nous permettait pas d’accéder à ce top 8 même si, comme la saison dernière, on était passé tout près.


Que voir dans cette qualification ? Si certains affirmeront qu’il s’agissait d’un groupe plus équilibré et plus à notre portée, nous voulons aussi et surtout voir dans ce résultat la conséquence du long travail de tout un club depuis plusieurs années. Lors d’une récente intervention, le coach Julien Chevalier a insisté sur l’importance de la continuité et de la stabilité tant au niveau du staff que des joueurs même si certains sont partis sous d’autres cieux à la fin de la saison dernière. L’ossature est demeurée intacte, renforcée par certains joueurs et surtout par une expérience grandissante dans ce type de compétition. La répétition de ce type de matchs et des déplacements à l’étranger dans des conditions parfois difficiles avec un encadrement capable de capitaliser sur ces expériences a fini par payer.


Cet esprit de persévérance que l’on observe dans toutes les strates du club en vue d’améliorer la performance générale se traduit aujourd’hui par cette belle qualification qui n’est, cependant, pas une fin en soi, l’appétit venant en mangeant !


Avant d’attaquer les ¼ de finale, notre route passera tout d’abord par un dernier match de groupes face à nos bourreaux nigérians de Rivers United, qui déterminera la première place et offrira un avantage certain au lauréat. En effet, le règlement de la compétition de la CAF prévoit que : « Les premiers des groupes rencontreront les deuxièmes des groupes en ¼ de finale (article III – 23) » et « Les équipes classées à la deuxième place de chaque groupe joueront le match aller des ¼ de finale sur leur terrain (article III – 24) ».


Ce match aura donc son importance pour la suite et, en bons compétiteurs, soyons certains que les Mimos auront à cœur de laver l’affront subi à UYO, lors de cette dernière journée sur ses terres, à Yamoussoukro.


Benoît YOU

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FOOTBALL FÉMININ Championnat féminin de D2
Jeunesse FC pour commencer

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Qualifiée !
COUPE DE LA CONFEDERATION CAF / 5e journée : DCMP 1 – 2 ASEC Mimosas

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2 cartouches à bien utiliser

Il y a bien longtemps que notre club ne s’est pas trouvé dans une situation aussi favorable après 4 matchs de groupes en Coupe d’Afrique. A la 2ème place du groupe, avec 7 points et 3 points d’avance sur le 3ème. Il faut certainement s’en réjouir car cette position, avec 2 matchs encore à jouer, est particulièrement intéressante. Mais il faut bien évidemment rapidement redescendre sur terre car rien n’est fait même si tout pourrait être scellé à l’issue de la prochaine journée que nous disputerons à Luanda contre les Congolais de Daring Club Motema Pembe. Situation paradoxale puisque si notre position est plutôt favorable, elle ne nous garantit rien, surtout pas la qualification et le plus grand danger demeure bien de lever les bras avant de franchir la ligne d’arrivée, au risque de se faire souffler la qualification sur le fil.


Paradoxale certes mais surtout cocasse dès lors que l’on se rappelle notre position, il n’y a pas si longtemps, à l’issue des 2 premiers matchs (dernier du groupe avec 1 point). En une double confrontation face aux Congolais des Diables noirs, nos Mimos ont réussi à complètement renverser la vapeur, passant du cancre au bon élève, du quasi-éliminé au quasi-qualifié !


Ainsi va le foot et bien malin celui qui sera capable de deviner où nous en serons à la suite des deux dernières rencontres même si nombreux nous voient déjà en ¼ de finale. Notre staff et nos joueurs ont tellement travaillé pour en arriver là qu’ils savent que rien n’est joué et ne veulent pas laisser passer l’occasion. Gardons-le à l’esprit le plus longtemps possible avec l’avantage d’avoir 2 cartouches à tirer pour atteindre la cible. La première à Luanda et éventuellement une deuxième à Yamoussoukro face à Rivers United FC.


Toucher le 1000 dès la première tentative ne serait d’ailleurs pas inutile (on devient gourmand) pour la suite de la saison car le programme à venir s’annonce très chargé au cours des 3 prochains mois avec le démarrage de la Coupe nationale et les Play-offs en ligne de mire pour la fin de saison. A noter qu’en fonction du résultat du match opposant Diables noirs à Rivers United FC qui se disputera quelques heures avant le nôtre, d’autres résultats qu’une victoire pourrait même suffire à garantir la 2ème place définitive du groupe à l’issue de la 5ème et avant-dernière journée.


Allez les Mimos !


Benoît YOU

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Interview de BAMBA De Touba (Responsable du Pôle Numérique)
« Notre pari, mobiliser 5 000 supporters pour ASEC Mimosas – Rivers United

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Quelle semaine !

Quelle semaine et que d’émotions ! De la stupéfaction, de la tristesse, de la colère. De la stupeur et du soulagement. Enfin de l’angoisse et la joie finale !


Tout cela dans une même semaine, cela fait beaucoup et certains de ces sentiments auraient certainement pu être évités.


Dans l’ordre, nous avons appris le décès d’un joueur sur la pelouse d’un match de Ligue 1. Sans revenir sur les polémiques que ce décès a pu provoquer, il est désormais vraiment temps que des mesures adéquates soient prises par les autorités nationales du football et du sport pour réduire ce genre d’accident, même si le risque 0 n’existe pas. C’est urgent et ne perdons pas de temps ! La vie n’a pas de prix !


Une autre nouvelle est parvenue à nos oreilles et a circulé pendant quelques heures sur la toile annonçant le décès suite à une agression d’un joueur de football, ancien joueur de notre club et formé au sein de notre centre de formation. Elle fut démentie quelques heures plus tard et si cela nous a apporté un grand soulagement, elle nous a alertés, s’il en était encore besoin, sur 'la puissance de feu' des réseaux sociaux, capables de tuer puis de ressusciter une personne en quelques minutes. Elle nous alerte surtout sur l’importance pour les journalistes de faire leur travail d’investigation avant d’annoncer une nouvelle aussi importante plutôt que de la « balancer » au plus vite afin d’être le premier et de passer pour un journaliste bien informé. Il en va de la vie des gens, ce qui n’est pas rien tout de même !


Enfin, last but not least, la soirée de mercredi nous a vu sauter de joie et crier de plaisir lorsque notre ailier OURA Anicet, après un petit pont judicieux, a adressé un délice de centre sur la tête de KRAMO Aubin qui l’a dévié dans les buts congolais des Diables noirs en coupant la trajectoire du ballon devant le gardien de but adverse. 0-1, score final, synonyme de première victoire à l’extérieur lors des matchs de groupe cette saison (et la saison dernière également) et de bonne option pour la qualification avec 7 points en 4 matchs. Rien n’est fait bien évidemment et nous saurons observer la retenue nécessaire en pareilles circonstances. Cela n’enlèvera cependant pas notre plaisir de voir ces Mimos méritants l’emporter enfin en terre étrangère et clouer le bec à tous les oiseaux de mauvais augure qui font leur beurre en surfant en permanence sur nos rares contreperformances.


Des joies, des peines, des victoires, des défaites … ainsi va la vie d’un club de football. Sachons raison garder face à chacune de ces situations tout en sachant rester dignes en toutes circonstances et respectueux du travail accompli avec cœur et acharnement.


Benoît YOU

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FOOTBALL FÉMININ D2
Bientôt le coup d’envoi

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Le Magazine en tête des chiffres de vente
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LIGUE 1 / 19e journée : ASEC Mimosas 4 – 2 USC Bassam
Belle répétition avant Brazza

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Supersub, indicateur d’un certain état d’esprit !

Les anglais ont toujours le don de trouver un nom pour chaque nouvelle situation et il n’est pas rare que ce terme entre par la suite dans l’usage de la langue française. Ainsi en est-il du mot Supersub, pour « super substitute » invité pour désigner les remplaçants entrant en cours de jeu et devenant décisifs par un but ou une passe décisive en fin du match. L’ancien attaquant international norvégien de Manchester United des années 90, Ole Gunnar SOLSKJAER, en a été le meilleur exemple, devenant ainsi une pièce maîtresse du dispositif du célèbre coach mancunien, Sir Alex FERGUSON, expert dans l’art de se servir de ses qualités de finisseurs en fin de match. Il a en effet inscrit 28 buts en carrière avec ce club en ayant démarré le match sur le banc : Un record.


Ce record n’est pas anodin et il ne peut être le fruit du hasard lorsqu’il est répété autant de fois mais plutôt d’une disposition d’esprit particulière qui fait de ces joueurs des atouts dans la manche d’un entraîneur qui sait les percevoir ou les révéler. Le norvégien expliquait qu’il profitait de sa position idéale sur le banc pour observer ses futurs adversaires, leurs déplacements et leurs points faibles afin d’être efficace dès son entrée en jeu alors que ceux-ci étaient un peu moins fringants après 70 minutes de jeu. Il n’est pas étonnant que ce joueur soit devenu par la suite un entraîneur au regard de ses qualités d’observation.


Etre désigné remplaçant n’est jamais un plaisir pour un joueur et peut parfois entraîner une réaction négative peu favorable à la performance d’un joueur qui peut être amené à entrer en cours de jeu. Dès lors, la bonne connaissance de l’état d’esprit de ses joueurs par un staff est indispensable dans le choix du groupe de joueurs à emmener au combat. Sera-t-il préférable d’emmener un joueur disposant de faibles qualités psychologiques en sachant qu’il sera sur le banc ou mieux vaudra le laisser à la maison pour qu’il ne perturbe pas le groupe du fait de son mécontentement ?


Certains entraîneurs ne parlent d’ailleurs plus de « titulaire ou de remplaçant » mais plutôt de joueurs qui débutent le match et de ceux qui entrent en cours de jeu. Cela est encore plus vrai au rugby, sport de combat dans lequel il est difficile pour un joueur de jouer tout un match à haute intensité. L’apport de ceux qui terminent le match y est d’ailleurs très souvent décisif, apportant de la fraîcheur et de l’impact.


Vous me voyez venir certainement puisque même s’il ne s’agit pas encore d’un Supersub (peu veulent le devenir en réalité), notre jeune attaquant, KARAMOKO Sankara, a montré de belles qualités techniques mais aussi psychologiques lors de notre 3ème match de Coupe de la Confédération en inscrivant le premier but de son équipe et en délivrant la passe décisive à son coéquipier KRAMO Aubin sur le second. Voilà ce que l’on attend de nos joueurs, d’être prêt à toute épreuve, de se mettre au service d’un projet collectif où chacun a sa place, des titulaires aux remplaçants mais aussi à ceux qui n’ont pas été retenus mais qui auront leur carte à jouer un jour ou l’autre pour défendre les couleurs mimosas.


Un match ou une compétition se gagne à 23 ou 30, disent désormais les techniciens !


Benoît YOU

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Présentation des Diables Noirs / CAF COUPE DE LA CONFÉDÉRAION
Présentation des Diables Noirs / Les Diablotins

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Que dire après cela ?

Il y a situation plus agréable que d’avoir à écrire un éditorial au lendemain d’une défaite concédée sur un score lourd en terre nigériane lors de cette deuxième journée des matchs de groupe de la Coupe de la Confédération. Mais comme dans la vie de tout un chacun, la vie d’un club n’échappe pas à des situations difficiles qu’il convient de surpasser en espérant des lendemains meilleurs.


Quel est le rôle de l’éditorialiste de l’organe officiel d’un club de football professionnel ?

  • Défendre coûte que coûte le club qui l’emploie et tenter de faire passer aux Actionnaires des vessies pour des lanternes alors que la réalité n’est pas au beau fixe ?
  • Céder aux sirènes des catastrophistes qui voient dans une défaite, si cruelle et si douloureuse soit-elle, la débâcle de tout un club et de toute une stratégie ?
  • Faire preuve d’objectivité pour éclairer le débat et participer à améliorer ce qui peut l’être ?

  • Il est clair que nous nous plaçons dans la 3ème perspective et nous allons tenter de poursuivre notre travail dans ce sens, n’en déplaise à ceux qui voudraient nous voir porter une autre casquette. D’autres organes se font un plaisir de s’en charger, chacun son rôle !


    La position la plus simple et la plus sage pour nous, à l’heure actuelle, serait de nous taire. Nous avons été laminés, nous ne méritons pas notre place dans cette compétition et nous avons fait honte à la famille Mimosas, pire, à la Côte d’Ivoire toute entière ! Taisons-nous, ayons honte et demandons pardon ! Voilà en quelques mots le sentiment qui semble animer le monde du sport ivoirien depuis dimanche.


    Que dire après cela ?


    Nous pensons effectivement que les résultats des deux premiers matchs de groupes de l’ASEC Mimosas ne sont pas à la hauteur de nos ambitions dans cette compétition. 1 point en 2 matchs avec 3 buts encaissés contre 0 inscrit ne sont pas de bonne augure pour la suite et pour espérer la qualification même si 12 points restent encore en jeu. Malheureusement, il est juste de noter que depuis la saison dernière, nous avons beaucoup de difficultés à nous imposer lors des matchs disputés à l’extérieur en Coupe d’Afrique, ce qui ne laisse pas présager un avenir radieux sauf si nos Mimos trouvaient enfin la clé pour conjurer cette mauvaise passe.


    Maintenant, une analyse vraiment objective de notre match disputé à UYO nous fait dire que, malgré l’ampleur du score en notre défaveur, il aurait pu être différent, n’eut été ce début de match catastrophique (tout le monde n’est pas le Real de Madrid, capable de remonter 2 buts encaissés dans les 15 premières minutes d’un 1/8ème de finale de Ligue des champions et de l’emporter finalement 5 buts à 2, à Anfield, face à Liverpool) et notre manque criard d’efficacité en attaque (15 tirs dont seulement 3 cadrés (et 0 but) contre 11 tirs et 6 cadrés (et 3 buts) pour notre adversaire nigérian), mal persistant depuis le début de la saison et qui rend difficile de passer ce cap des matchs de groupes.


    Que nous reste-t-il à faire désormais ? La voie est claire et il n’y a plus de calcul à faire. Cela passe tout d’abord par une victoire ce dimanche à Yamoussoukro pour se relancer et conserver un soupçon d’espoir.
    Plus que des mots, ce sont bien des actes et des résultats qui sont désormais indispensables.


    Benoît YOU

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    Visite au Président-fondateur du FOOTBALL FEMININ
    La Responsable reçoit des bénédictions

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    Présentation de Rivers United FC / CAF COUPE DE LA CONFÉDÉRAION
    Présentation de Rivers United FC / La fierté des rivières

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    Les Mimos sont au Nigéria
    Les Mimos sont au Nigéria

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    Nos chers voisins ouest-africains !

    Notre prochain match de Coupe de la confédération à disputer ce dimanche en terre nigériane sera un nouvel épisode des confrontations entre clubs ouest-africains qui ont jalonné l’histoire de l’ASEC Mimosas depuis sa création.


    Si les matchs les plus importants disputés par les Mimosas le furent face à des équipes nord-africaines (Espérance de Tunis, Wydad de Casablanca …) ou d’Afrique australe (Orlando Pirates, Dynamos FC …), les plus mémorables eurent lieu contre des équipes de la sous-région.


    Si l’on retrace le fil de l’histoire, les premiers d’entre tous se déroulèrent bien en Afrique de l’Ouest, loin d’Abidjan, plus précisément à Dakar, capitale de l’AOF (Afrique Occidentale Française) d’alors et de sa Coupe créée à la fin des années 1940. A 3 reprises, les Mimos échouèrent en finale, face à l’US Gorée (Sénégal) en 1954, face à la Jeanne d’Arc du Soudan (Mali) en 1956 et enfin face à … l’Africa Sport en 1958. 3 cruelles défaites inaugurales qui furent un lourd apprentissage des compétitions internationales.


    Par la suite, les années 1970 furent marquées par les confrontations face au Hafia de Guinée, en 1973 et surtout en 1976, lors des ½ finales de la Coupe d’Afrique des Clubs Champions, De belles joutes eurent également lieu face aux Togolais de l’Agaza de Lomé en 1983, en ½ finale de la Coupe d’Afrique des vainqueurs de Coupe.


    Puis vinrent les années 1990 et ses nombreuses joutes fratricides ouest-africaines, que ce soit contre les ghanéens de l’Asante Kotoko, les Maliens du Djoliba ou les Nigérians d’Iwuanyanwu. Que de souvenirs pour les amoureux de l’ASEC Mimosas, même si certaines confrontations se conclurent par des défaites et l’une d’elles par un cruel bilan de blessés et de morts.


    Depuis le début des années 2000, on a pu observer un net recul de la compétitivité des équipes de la région occidentale du continent. Pour preuve, une seule de ses équipes a pu remporter la Ligue des Champions de la CAF et ce fut le champion du Nigéria, Enyimba, à 2 reprises en 2003 et 2004. Il fut un terrible adversaire des Mimosas pendant ces années-là.


    Il n’empêche, jouer contre son voisin n’est jamais un match anodin, on l’a bien vu lors de la double confrontation face à Horoya cette saison. Ces oppositions permettent de se mesurer à des rivaux régionaux et mettre en jeu une suprématie régionale. La présence de nombreuses populations originaires des pays frontaliers chez les uns et chez les autres, fruit des vagues migratoires et de l’histoire de chacun d’eux, donne bien évidemment à ces matchs un goût particulier.


    A nous deux, Rivers United. Les équipes nigérianes nous connaissent ! Nous passerons chez vous pour écrire encore un peu plus l’histoire des confrontations sous régionales.


    Benoît YOU

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    ÉQUIPE PROFESSIONNELLE 16e et 17e journées de Ligue 1
    Le plein de confiance avant la Coupe africaine

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    CHAMPIONNAT U20 / 1ère journée : SOA 1 – 3 ASEC Mimosas
    Les Mimos commencent par une victoire

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    ÉDITORIAL

    Ligue 1, Coupe de la Confédération, Coupe nationale, Championnat U20, Championnat de Division 2 (football féminin), voilà le programme qui attend les Mimos à partir d’aujourd’hui sur les terrains de football ivoirien auquel on pourrait même ajouter la Coupe des Clubs champions Zone 3 pour le Volley-ball féminin qui se tiendra du 10 au 17 Février à Abidjan.


    Après un mois plutôt calme et sans compétitions sauf pour 11 Mimos transformés en Eléphants, les choses vont s’accélérer pour en principe ne pas s’arrêter avant la fin du mois de juin qui sifflera la fin de la saison.


    De quoi occuper tout un club en vue d’obtenir les meilleurs résultats dans ces diverses compétitions aux objectifs différents. Si le titre de champion de Côte d’Ivoire en Ligue 1 est prioritaire, personne ne cracherait sur une 21ème Coupe nationale ou une première Coupe de la Confédération de la CAF. Une sortie des poules dans cette compétition africaine est pour le moins un premier objectif à atteindre, en espérant mieux …


    Pour nos filles qui reprendront le fil d’une histoire ancienne dans le football national, l’objectif d’une accession à la 1ère division est clairement affiché, l’ASEC Mimosas n’étant pas un habitué des secondes zones (suivez mon regard !!!). Le chemin sera difficile mais tout le club s’attelle à mettre nos joueuses dans les meilleures conditions pour atteindre cet objectif.


    En ce qui concerne le championnat U20, les objectifs sont bien différents puisqu’il s’agit avant tout de permettre à nos jeunes joueurs en formation et post-formation de disputer des rencontres officielles pour s’aguerrir et se préparer au mieux aux joutes qui les attendent ici ou ailleurs. Développer chez eux le culte de la gagne, le refus de la défaite est bien évidemment essentiel et cela doit faire partie de leur culture. A tous les niveaux du club, nos techniciens s’y attellent même s’il faut savoir, notamment chez les jeunes, regarder tout autant la manière que le résultat final pour faire de bonnes analyses.


    Chaque chose en son temps, chacun à sa place et à chaque équipe donc ses objectifs ! Voilà une formule qui définit bien l’état d’esprit qui doit régner dans un club comme le nôtre.


    Dans ce sens, la récente rencontre du Président du Conseil d’Administration avec les membres du bureau du CNACO fut un moment d’échanges instructifs, notamment pour éclairer les Actionnaires sur ce mode de fonctionnement qui a permis à notre club de se développer et de prospérer.


    C'est cela l'ASEC Mimosas.



    Benoît YOU


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    ÉDITORIAL

    La Fédération Ivoirienne de Football a convié les clubs de Ligue 1 à une rencontre au début de cette semaine afin de leur présenter le projet de championnat pour les joueurs de moins de 20 ans (U20). Initié par la Direction Technique Nationale (DTN), son nouveau Directeur en a présenté les objectifs pour le football ivoirien en indiquant qu’il s’agissait d’une première action à mettre en place dès le mois de janvier avant de lancer les autres étages de la fusée dans les prochains mois.


    Au-delà du contenu du projet lui-même, j’ai avant tout retenu la nouvelle dynamique dans laquelle est lancée notre football à travers notamment la relance des compétitions de football des jeunes, mais aussi celle du football féminin ou encore celle des relations avec la FIFA et la CAF.


    La dynamique, qui vient du grec « dynamikos » et signifie « puissant et efficace », se définit comme « un ensemble de forces orientées vers un développement, une expansion ». Cette notion vient de la mécanique mais on la retrouve dans les organisations en ce qu’elle permet d’insuffler le mouvement de tous vers un objectif défini. Et il faut retenir qu’elle doit tout d’abord être générée pour créer le mouvement.


    Ainsi en fut-il lorsque Me Roger OUEGNIN relança l’ASEC Mimosas en 1989 à travers des décisions structurelles importantes dont les effets se ressentent encore aujourd’hui plus de trois décennies après.


    Que dire de l’impulsion donnée par le Roi du Maroc, Mohammed VI, pour le football de son pays à partir de 2008 et dont les premiers effets se firent ressentir une dizaine d’années plus tard pour arriver aujourd’hui à la présence de son équipe nationale en ½ finale de la Coupe du Monde de la FIFA.


    L’ASEC Mimosas, encore elle, insuffla le mouvement de la formation en Côte d’Ivoire et en Afrique avec son académie de football qui permit à la Côte d’Ivoire de participer à trois Coupes du Monde d’affilée. Malheureusement, cette dynamique créée fût interrompue pour diverses raisons. Or, tout comme le feu s’éteint si on ne l’alimente pas, toute dynamique doit être entretenue pour perdurer et s’inscrire dans une stratégie sur le long terme. Se reposer sur les lauriers du passé, sur un passé glorieux ou sur une génération dorée est certainement le plus grand des dangers pour toute nation qui aspire à soulever des trophées. C’est bien ce qui s’est passé en Côte d’Ivoire et le résultat fut sans appel.


    Il est heureux de la voir de nouveau emprunter le chemin de la construction. La prochaine Coupe d’Afrique des Nations en sera une étape importante, notamment au niveau des infrastructures mais il faudra poursuivre cet élan pour espérer en récolter les fruits en 2026, en 2030 ou bien plus tard encore.


    Benoît YOU


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    ÉDITORIAL

    A l’occasion de la Coupe du Monde FIFA 2022, nous avons lu cet entretien dans le quotidien français « L’équipe » n°24 936 du lundi 21 novembre 2022. Il nous a semblé intéressant à partager afin de mieux rechercher les raisons des résultats des équipes africaines en Coupe du Monde alors qu’elles disposent en leur sein de joueurs de grands talents.


    Son auteur, Matthew Andrews, est professeur à Harvard, spécialisé dans la croissance économique, fan de football et auteur d’une étude sur le foot africain dans laquelle il a réfléchi sur le manque de résultats des sélections nationales africaines sur la scène mondiale et il tente d’en expliquer les raisons.


    « Expliquez-nous votre démarche.
    Quand Pelé a dit qu’une équipe africaine allait gagner la Coupe du monde, la question, c’est : “A-t-il eu vraiment tort ?” Beaucoup de gens pensent que c’est à cause de l’équipe que vous gagnez. Mais c’est aussi un problème d’histoire, de “technologie”, comme je l’appelle. Comment vous vous entraînez, vous organisez, quels sont vos moyens de transport, votre centre d’entraînement, la psychologie du groupe, le médical. Pour gagner une Coupe du monde, vous devez théoriquement gagner au moins 5 matches sur 7. Et battre quatre équipes du top 20. Les équipes africaines peuvent en gagner un, deux, voire trois mais pas cinq.


    C’est un constat fondé sur des statistiques des matches ?
    Oui, regardez le Nigeria, un pays immense avec des athlètes incroyables mais qui semblent heureux de battre les équipes africaines. Ils ne jouent pas face à la France, l’Argentine, le Brésil… À force d’affronter des équipes moins fortes, vous ne progressez pas. Au Qatar, l’équipe la plus prometteuse est le Sénégal, avec des joueurs de talent et Aliou Cissé qui a été partie prenante de la victoire contre la France en 2002 (1-0). C’est capital d’avoir des gens qui ont vécu des moments clés de l’intérieur, comme Cissé, car ils pensent différemment. À Harvard, on parle de la croissance économique comme d’un jeu de Scrabble. On a des lettres et on a besoin de mettre en place des mots qui rapportent des points. En Afrique, il y a beaucoup de talents, donc beaucoup de lettres, mais elles ne créent pas des mots.


    Une équipe africaine peut-elle quand même s’imposer ?
    J’aimerais et elle le pourrait dans l’absolu. Mais il faut changer de stratégie. Au Qatar, l’Argentine, l’Angleterre, le Brésil, la Belgique, la France sont trop professionnelles, trop fortes, se jouent tout le temps. Pas sûr que le Sénégal puisse battre le Brésil et l’Angleterre en trois semaines…


    Que faire pour changer la donne ?
    Si j’étais le Sénégal, je jouerais avec une équipe B lors des CAN tous les deux ans et mon équipe A jouerait contre des équipes d’Europe, d’Amérique du Sud et d’Asie.


    Mais il n’y a plus de dates libres.
    C’est vrai, donc la FIFA et les associations continentales ont tué les équipes africaines. Ce système d’une CAN tous les deux ans est parfait pour le Bénin ou les Comores: ils vont progresser en rencontrant le Nigeria. Mais les équipes moyennes restent moyennes. C’est une théorie économique connue sous le nom de piège du revenu intermédiaire.


    Où en est, à vos yeux, le foot africain ?
    Au milieu du lot comme la Grèce, la Turquie. La “technologie”, c’est la clé. Les joueurs africains apprennent en Europe en tant qu’individus, mais l’important, c’est de l’apprendre en tant qu’équipe. L’Afrique est tributaire de son organisation. C’est ce qui l’empêche d’aller plus haut. »


    Les techniciens le savent tous, c’est en disputant des matchs contre des équipes plus fortes que soi que l’on progresse. A notre niveau, nous savons que les matchs de Coupe d’Afrique ou les tournées internationales de nos jeunes joueurs sont indispensables pour mesurer leur véritable niveau et celui de nos équipes et ainsi leur permettre de progresser.


    Cela n’augure en rien des résultats des équipes africaines (ou asiatiques d’ailleurs) lors de cette Coupe du Monde (Cf la victoire de l’Arabie Saoudite (2-1) face à l’ogre argentin lors de la 1ère journée du groupe C), mais c’est une piste de réflexion à creuser pour l’avenir afin de changer la donne !


    Benoît YOU


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    LIGUE 1 / 9e journée/SC Gagnoa - ASEC Mimosas
    Une troisième victoire d’affilée face au Sporting Club ?

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    ACADÉMIE MIMOSIFCOM Sortie au Ghana
    Une tournée bénéfique

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    L’ASEC MIMOSAS RENFORCE SON ATTAQUE
    Recrutement de l’attaquant ghanéen ZUMAH Richard Agbalegah en provenance de Maritzburg United FC (D1 sud-africaine)

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    ZOUGRANA MOHAMED : 'ZM-6' OU '3 POUMONS'
    ZOUGRANA MOHAMED : 'ZM-6' OU '3 POUMONS'

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    ÉDITORIAL

    À 3 jours du lancement de l’évènement sportif le plus suivi au monde, bien malin celui qui peut s’en rendre compte en sillonnant les rues d’Abidjan. Nouvelles dates de compétition, nouveau pays organisateur, absence de la Côte d’Ivoire à la phase finale, les raisons sont nombreuses pour expliquer le peu d’intérêt actuel accordé à la Coupe du Monde, mais nul doute que tout va rapidement monter en puissance dès lors que les premiers matchs auront été joués et les premiers exploits accomplis.


    Cette deuxième édition consécutive sans les Éléphants est bien malheureuse alors que les Ivoiriens avaient pris l’habitude d’y participer en 2006, 2010 et 2014. Le sport est sans état d’âme et ne récompense que ceux qui le méritent. Après s’être reposé sur une génération dorée formée à la fin des années 1990, l’absence de politique technique nationale pendant de trop nombreuses années a donné les résultats que nous connaissons aujourd’hui. La mise en place d’une nouvelle Direction Technique Nationale (DTN) par le nouveau Comité Exécutif de la Fédération Ivoirienne de Football (FIF) est une première pierre posée pour la construction d’un football national plus compétitif et cela va dans le bon sens, pourvu qu’on lui donne les moyens de sa politique. Il faudra également savoir être patient pour en voir les premiers résultats.


    À noter que le calendrier des 4 prochaines années est alléchant et les échéances qui attendent nos pachydermes, s’ils savent être ambitieux, sont également excitantes. En effet, la prochaine Coupe d’Afrique des Nations (CAN) ayant lieu en Côte d’Ivoire, tout un peuple sera prêt à s’enflammer… Et les attendra au tournant. Puis viendra le temps des Éliminatoires pour la prochaine édition de la Coupe du Monde (en 2026 aux États-Unis, au Canada et au Mexique) qui verra la mise en place d’un nouveau format avec 48 nations qualifiées dont 10 africaines, soit le double de ce qui est attribué actuellement. De sacrés défis et de sacrées opportunités à saisir et qui se préparent dès aujourd’hui.


    Nous relevions, la semaine dernière, dans cette chronique, l’existence de plusieurs réalités au sein du football africain, celle des clubs et celles des sélections nationales. Cette Coupe du Monde révèle une nouvelle fois une autre réalité, celle du peu de joueurs sélectionnés évoluant dans le championnat de leurs pays africains. Sur les 5 nations africaines qualifiées (Ghana, Cameroun, Sénégal, Tunisie et Maroc), soit un total de 130 joueurs (5 x 26), seuls 15 joueurs (soit 11 %) évoluent dans leurs championnats (8 en Tunisie, 3 au Maroc, 2 au Cameroun, 2 au Ghana et… 0 au Sénégal). Cette réalité n’est certes pas nouvelle puisqu’elle a entraîné la création du Championnat d’Afrique des Nations pour permettre aux joueurs « locaux » de disputer des compétitions internationales, elle n’en est pas pour autant reluisante ni réjouissante d’autant plus que l’on ne note aucune évolution.


    Bonne Coupe du Monde à tous… En n’oubliant pas notre chère Ligue 1 qui se poursuit !


    Benoît YOU


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    ZONE SUD : GUESSAN BI VA MOBILISER A DALOA
    GUESSAN BI VA MOBILISER A DALOA

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    CNACO (MOBILISATION DES JEUNES)
    Me SARR ET SON EQUIPE DEJA AU TRAVAIL

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    KOUTOUAN AKASSOU ARNAUD INTÈGRE LE STAFF TECHNIQUE
    KOUTOUAN Akassou, l’ex-capitaine de l’ASEC Mimosas, fait désormais partie du staff technique de l’équipe professionnelle du club

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    ÉDITORIAL: Oui, c'est bien totalement GRATUIT!

    Sol Béni a été le théâtre, jeudi 22 septembre dernier, d’une déferlante de jeunes passionnés de football rêvant d’intégrer notre centre de formation et espérant par la suite embrasser une carrière de joueur professionnel.


    Cela faisait longtemps que nous n’avions pas vu autant d’affluence pour ce genre de détection. Comment expliquer cet engouement ?


    Voyons-y tout d’abord un nouveau signe de l’attractivité de notre club dans son ensemble qui réalise d’excellentes performances dans tous les domaines depuis quelques années et véhicule une image positive dans l’opinion, qu’il s’agisse :

    • Des résultats sportifs de l’équipe professionnelle, actuel double champion de Côte d’Ivoire
    • De ceux de l’Académie MimoSifcom dont les meilleurs joueurs sont transférés dans des clubs européens,
    • De la fidélité de nos sponsors historiques et de l’arrivée de nouveaux sponsors internationaux,
    • De la reconnaissance de la qualité de nos médias récompensés par diverses autorités (Ministère de la Communication ou Autorité Nationale de la Presse),
    • De la qualité des installations et des activités de Sol Béni,
    • Du démarrage du chantier de Gboro Gbata qui ouvrira de nouvelles perspectives pour notre club,
    • De la mobilisation des supporters à travers le Mur Jaune,

    L’on peut également y voir une évolution forte de la société, car il est remarquable de noter que la plupart de ces enfants étaient accompagnés d’un parent, ce qui n’était pas forcément le cas à une époque récente où les parents privilégiaient les études, quitte à interdire la pratique du football à leur progéniture.


    Il faut croire que les temps ont changé, certainement guidés par d’autres révolutions, numériques, éducatives… Plusieurs cas de figure se présentent toutefois. Si certains parents sont désemparés face à l’intransigeance de leurs fils ne voulant plus étudier, il en est d’autres qui les poussent dans cette voie du football, fantastique outil de promotion sociale.


    Pour revenir à ce succès populaire, un autre élément doit être ajouté puisque l’Académie MimoSifcom est unique en son genre en ce qu’elle propose une formation de très haut niveau (tant sportive que scolaire) TOTALEMENT GRATUITE et qui peut durer pendant 5 à 6 années. Cette gratuité continue, à juste titre, d’en étonner plus d’un et la lecture des réactions sur les réseaux sociaux en témoigne. Certains n’hésitant pas à écrire que ce sont les enfants dont les parents sont les plus nantis qui seront retenus. La meilleure réponse à ces allégations a jailli d’un de nos lecteurs qui leur a demandé, en retour, si, à leur connaissance, le père de KONATÉ Karim était Président de la République ou celui de KOSSONOU Odilon, Premier Ministre ! Et qu’en est-il de ceux de Yaya TOURE, Gervinho, Salomon KALOU, GOHI BI Cyriac, DIAKITE Oumar et de tous les pensionnaires actuels ?


    S’il est vrai que peu de choses sont gratuites aujourd’hui sur cette terre, l’action de l’ASEC Mimosas et de son partenaire SIFCA d’offrir cette opportunité à la jeunesse ivoirienne depuis bientôt 30 ans est exceptionnelle. À ce jour, aucun passe-droit n’a jamais été accordé à quiconque pour intégrer notre centre de formation, les seuls décideurs demeurant les techniciens de l’Académie MimoSifcom selon leurs critères de sélection, sportif, scolaire et psychologique. Et c’est mieux ainsi, si l’on veut continuer à obtenir de bons résultats !


    Bonne chance à tous !


    Benoît YOU


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    Folly Ayayi convoqué avec les Eléphants A
    Le gardien de l'ASEC Folly Ayayi convoqué avec les éléphants A

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    ÉDITORIAL

    La disparition de la Reine d’Angleterre, Elizabeth II, a marqué l’actualité internationale ces derniers jours après plus de 70 ans de règne sur la Couronne britannique. C’est alors que le vieux proverbe « Le Roi est mort, Vive le Roi » a rejailli, traduisant la théorie des deux corps du Roi, de l’historien allemand, Ernst Kantorowicz :


    • « Parce qu’il est naturellement un homme (ou une femme) mortel (le), le roi (ou la reine) souffre, doute, se trompe parfois : il n’est ni infaillible, ni intouchable, et en aucune manière l’ombre de Dieu sur Terre comme le souverain peut l’être en régime théocratique.
    • Mais dans ce corps mortel du roi vient se loger le corps immortel du royaume que le roi transmet à son successeur ».

    Ainsi, quelques heures après le décès de la Reine et avant même son enterrement, le nouveau Roi, Charles III était déjà sur le trône qui ne resta pas longtemps vacant.


    À l’aube de la nouvelle saison qui a démarré sur les plans nationaux et internationaux le week-end dernier, le champion Mimos, bien vivant, se doit, contrairement au Roi, de remettre son titre en jeu et de confirmer sa suprématie chaque saison. Et même si nous restons sur 4 titres en 6 exercices, il faut aller glaner chaque trophée à la sueur de notre front. C’est bien mieux ainsi, car la satisfaction est, bien évidemment, à la hauteur de l’effort fourni. D’illustres auteurs l’ont bien mieux écrit notamment Pierre Corneille dans la célèbre réplique du Cid : « A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire ». Qu’il s’agisse de la Ligue 1 ou de la Ligue des Champions, il en faudra de la persévérance et du travail pour venir à bout d’une saison à rallonge. Rien n’est jamais offert, il n’existe pas de petites victoires et il est important de savoir toutes les apprécier à leur juste valeur.


    Celle obtenue ce dimanche à Cotonou en fait partie même si elle n’octroie rien, suspendue au résultat d’un match retour incertain prévu ce dimanche dans la capitale politique. Mais elle laisse tout de même espérer une possible qualification pour le prochain tour !


    Nous pourrons ensuite nous consacrer à la compétition locale, avec un peu de retard, mais surtout avec beaucoup plus de matchs à disputer. Et là aussi, il faudra savoir remettre chaque jour le cœur à l’ouvrage.


    Ainsi va toute saison sportive. Sans Roi ni Reine, mais avec des champions et des championnes qui méritent tout notre respect dans leur quête de succès.


    Que cette saison soit belle !


    Benoît YOU

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    1er Tour des Préliminaires/Coton FC du Bénin – ASEC Mimosas
    Bien négocier la première manche

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    Premier tour des préliminaires / Présentation de Coton FC d’Ouidah
    Coton FC, nouvelle étoile du football béninois

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    ÉDITORIAL

    Si les réseaux sociaux, Internet ou le numérique dans son ensemble sont tantôt présentés comme les plus grands des fléaux, tantôt comme les solutions à tous les problèmes du monde, la vérité est bien évidemment comme souvent entre les deux et tout dépend de l’usage qui est fait de ces outils.


    La lecture des commentaires sous les « posts » de notre page officielle Facebook en est l’illustration et s’avère parfois intéressante. Aux côtés des extrémistes de tout poil qui ressassent à longueur de journée leurs inepties, on y retrouve régulièrement des réflexions instructives.


    Ainsi, lorsque notre « community manager » (puisque c’est ainsi que l’on appelle les personnes en charge d’animer les pages des réseaux sociaux) a publié un message de félicitations aux Éléphants locaux pour leur qualification à la phase finale du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN), les commentaires ont été nombreux pour féliciter l’ASEC Mimosas dont 10 joueurs ont participé au match retour à Agadir contre les étalons locaux du Burkina Faso. D’autres ont bien sûr raillé cette présence massive de Mimos, signe de la prise de contrôle de la FIF par nos dirigeants. Mais c’est le commentaire de « Apôtre Tizie Abondance » que nous avons particulièrement apprécié tant par sa formulation imagée que par son bon sens : « Quand c’était mauvais, c’était ASEC donc quand c’est bon, disons ASEC».


    Difficile de mieux le formuler !


    Car, si le choix du sélectionneur d’appeler 10 joueurs Mimosas, dont 7 ont été champions de la saison dernière avec 15 points d’avance, s’est avéré payant et permet de rompre avec la spirale négative dans laquelle le football local ivoirien était englué après la non-participation de son équipe nationale aux 2 dernières phases finales du CHAN, il comportait une part de risque importante pour notre club qui se trouvait en première ligne en cas d’élimination. Que n’aurait-on pas entendu ? Que l’ASEC impose ses joueurs ! Que nos joueurs ne valent rien ! Et bien d’autres du genre, encore ! Donc oui, sachons féliciter les Éléphants, son sélectionneur et son staff, la Côte d’Ivoire, mais sachons aussi reconnaître le mérite de l’ASEC Mimosas (et surtout de ses joueurs) dans cette qualification en n’oubliant pas de souligner également que la mise à disposition de 10 de ses meilleurs joueurs pendant plus de deux semaines et à quelques jours du lancement de sa campagne africaine, a pénalisé notre club dans sa préparation.


    Mais, nous en avons terminé avec la préparation, place à la compétition ! Pour le 1er match officiel de la nouvelle saison, notre équipe fera une nouvelle fois le déplacement à Cotonou (Bénin), notre deuxième maison, la saison dernière. Nous y avions plutôt performé puisque nous y avions remporté nos 3 matchs de poule contre Simba, Berkane et l’USG du Niger. Une belle série qu’il conviendra de poursuivre contre Coton FC afin de prolonger le plus longtemps possible cette aventure africaine qui plait tant aux joueurs, aux staffs et aux Actionnaires.
    Benoît YOU


    2 an(s)

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    Interview de Julien CHEVALIER (Entraîneur de l’ASEC Mimosas)
    Le coach Julien CHEVALIER aborde une 4e saison d’affilée avec l’ASEC Mimosas qu’il espère encore prolifique que les 3 précédentes. À quelques jours de l’entame de la compétition de son équipe par le Tour préliminaire de la Ligue africaine des champions, il nous fait un tour d’horizon sur le travail qui se fait depuis la reprise des entraînements à Sol Béni.

    2 an(s)

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    70
    KRAMO Aubin convoqué chez les Elephants pour le CHAN 2023
    Kramo Aubin a été convoqué par le sélectionneur Soualiho Haidara

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    71
    Nouveau partenariat avec Betclic
    Partenariat ASEC Mimosas et Betclic

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    72
    YELO Ruben Levy s’est engagé avec l’ASEC Mimosas
    Le gardien de but YELO Ruben Levy s’est engagé avec l’ASEC Mimosas

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    73
    Sakanoko Moustapha est de retour à l’ASEC Mimosas
    Sakanoko Moustapha est de retour à l’ASEC Mimosas

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    74
    Le latéral gauche KOUAME Kouakou Roméo pose ses valises à Sol Béni
    KOUAME Kouakou Roméo pose ses valises à Sol Béni

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    75
    Le milieu défensif OUATTARA Abdoul Fatahou a paraphé un contrat de 2 saison
    Le club jaune et noir annonce l’arrivée de OUATTARA Abdoul Fatahou en provenance de ES Hammam Sousse (D1 Tunisienne)

    2 an(s)

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    76
    Ligue des Champions CAF / 1er Tour préliminiare
    Ligue des Champions CAF, l'ASEC Mimosas sera opposé au Coton Sport FC du Bénin

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    ÉDITORIAL

    Tirée du lexique baoulé et même du grand groupe ethnique Akan (installé au Centre, à l’Est et au Sud-Est de la Côte d’Ivoire), l’expression « Akwaba » signifie Bienvenu(e). Akwaba est donc utilisée pour souhaiter la bienvenue à tout étranger que l’on reçoit chez soi. Une façon de manifester sa joie de recevoir celui ou celle qui vient d’arriver. Bienvenu(e) étant défini par Larousse et Le Robert, comme 'Qui vient opportunément' ou 'Personne, chose qu’on accueille avec plaisir'. Aussi, l’expression Akwaba est-elle également utilisée en pays akan pour témoigner la joie d’accueillir l’enfant de la famille qui retrouve les siens après un éloignement, quelles qu’en soient les raisons ou causes (vacances, voyage d’affaires, mission, pour des soins, etc.).


    Pour la famille ASEC Mimosas qui vient de reprendre officiellement les entrainements, ce lundi 1er août 2022, cette expression est plus qu’appropriée et à plus d’un titre :

    • Akwaba au staff technique qui retrouve Sol Béni après des vacances méritées ; vacances studieuses qui ont conduit pour renforcer leurs capacités...

    • Akwaba aux joueurs, les anciens qui se sont éloignés et qui retrouvent leur antre sacré, Sol Béni, pour reprendre de plus belle et avec de meilleures intentions le travail. Bienvenue après avoir rechargé les accus. Et bon vent, que dis-je, meilleur vent pour la nouvelle saison au cours de laquelle l’équipe fanion sera sur trois fronts principaux (Ligue des champions, Ligue 1 et Coupe nationale) avec pour objectif de faire mieux sur tous les tableaux que lors de l’exercice écoulé.

    • Akwaba également et surtout aux nouveaux venus dans l’équipe fanion dont les premiers ont été présentés dans la précédente parution du magazine "ASEC MIMOSAS - LES ENFANTS S’AMUSENT" : recrues, retour de prêt, promus de l’académie MimoSifcom, etc.). En les accueillant à bras ouverts, la grande famille Mimosas les accompagne de ses vœux de succès. Et leur souhaitent d’être heureux à Sol Béni, et surtout de parvenir à réaliser les projets et missions qui les ont conduits à l’ASEC Mimosas. Tous les grands clubs ont leurs exigences qui font que des fois, le maillot devient très lourd à porter avec pour conséquence l’étouffement de belles promesses. Et parce que l’ASEC Mimosas est un grand club, elle a aussi des exigences. Le dire, ce n’est pas effrayer les nouveaux venus ; mais les amener à prendre toutes les dispositions afin de demeurer les bienvenus tout le temps de leur présence à l’ASEC Mimosas. À tous ceux qui sont aujourd’hui accueillis avec joie, à qui l’on souhaite la traditionnelle Akwaba, de savoir tenir leur rang et satisfaire les espoirs placés en eux. Ainsi, la joie ressentie à leur accueil pourra se transformer en célébration et félicitations, à l’heure du bilan.

    • Akwaba enfin aux Actionnaires, aux comités qui n’étaient pas du précèdent exercice ou qui ont pris du recul en cours de saison pour diverses raisons. Leur retour signifie que leur amour pour l’ASEC Mimosas est plus fort que tout. Bienvenus en famille pour constituer durablement et loyalement, aux côtés du Mur Jaune, le douzième homme mimos avec la mentalité de l’Actionnaire nouveau inspiré par ce slogan cher au Mur Jaune : "ON N’ABANDONNE JAMAIS !" Ce plus qui pousse les joueurs à se sublimer dans les moments difficiles.

    En somme, Akwaba aux uns et aux autres. À l’instar des joueurs qui ont entamé leur préparation, ce lundi 1er août 2022, que chaque acteur se dispose à relever tous les défis dont le Tour préliminaire de la Ligue des champions CAF 2022-2023 prévu pour démarrer le week-end du 09 au 11 septembre 2022.
    René KOFFI


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    L'international A ZOUZOU Franck-Carlos signe à l'ASEC
    L’international A’ ivoirien Zouzou Franck-Carlos signe à l’ASEC Mimosas

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    Transfert définitif de Salaou Abondance formé à Académie MimoSifcom
    l’ASEC Mimosas et IFK Göteborg (D1 suédoise) sont parvenus à un accord pour le transfert définitif de Salaou Abondance.

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    Signature de N'GORAN Kouassi Crépin à l'ASEC
    N'GORAN Kouassi Crépin signe un contrat de 3 ans avec l'ASEC Mimosas

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    Fin de contrat SINGONE Claude
    Singoné Claude a fait ses adieux au club jaune et noir. Avant son départ pour son nouveau club le Al Hilal Khartoum (D1 Soudanaise)

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    Renouvellement du partenariat ASEC & UTB
    L’ASEC Mimosas et la compagnie de transport terrestre UTB ont renouvelé leur partenariat

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    Meilleur jeune joueur Africain de l'Année
    Konaté Karim fait partie des 3 finalistes pour le trophée du meilleur jeune joueur africain de l’année.

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    ÉDITORIAL

    « La Maison Excellence ». Ce vocable rappelle aux uns et aux autres la collaboration entre l’ASEC Mimosas et la Société Ivoirienne de Tabac (SITAB) à travers sa marque de cigarette Excellence, dans le cadre de l’immense projet d’un siège digne du club. Ce projet a vu le jour, des années plus tard, mais sans ce partenaire qui a dû abréger sa collaboration, après que la FIFA a interdit aux opérateurs du secteur du tabac, toute activité dans le football. Aussi, a-t-il été rebaptisé « Hôtel Sol Béni ». Pour autant, l’esprit d’excellence que ce projet visait à matérialiser n’a pas quitté l’ASEC Mimosas. Les résultats immédiats du club sont là pour l’attester: Champion de Côte d’Ivoire pour la 28e fois, la 21e de l’ère Me Roger OUÉGNIN. Le deuxième titre consécutif, enlevé avec 21 succès pour 4 matches nuls et une seule défaite. Son attaquant vedette, KONATÉ Karim est couronné meilleur buteur. Au plan continental, le jeune international mimos est en finale pour les trophées du meilleur jeune joueur africain et du meilleur joueur interclub africain de l’année aux CAF Awards 2022. Ces résultats, conjugués avec la longévité des Mimos dans le haut du tableau et leur organisation professionnelle forcent le respect. Notamment celui du président de la Ligue professionnelle de football, Salif BICTOGO : « (…) Nous sommes d’abord venus à Sol Béni, chez le champion de Côte d’Ivoire et nous avons été émerveillés. L’ASEC Mimosas s’est donné les moyens de créer la richesse avec laquelle elle entretient le club. Toute l’organisation derrière est également formidable. », a-t-il qualifié, au terme de la première étape de sa tournée dans les sièges des clubs de sa juridiction, le vendredi 8 juillet 2022 à Sol Béni. Un constat qui rejoint la perception de l’excellence de la romancière canadienne Monique CORRIVEAU qui écrivait dans 'Compagnon du soleil' que « L’excellence, dans quelque domaine que ce soit, exige qu’on s’y consacre entièrement. » Rien dans ce domaine n’est donc ex nihilo, sauf des accidents de parcours, comme l’indique l’ex-joueur de baseball américain, Thomas BOSWELL, pour qui « Il n’y a pas de substitut à l’excellence. Pas même le succès. » Ainsi, des clubs moins structurés, moins organisés peuvent donc battre l’ASEC Mimosas sur un match… Ils peuvent même lui ravir un ou des titre(s). Mais à la messe de l’excellence, c’est le seul qui a construit son succès, qui sera dans la loge VIP.


    L’ASEC Mimosas n’a-t-elle pas surmonté les intermèdes de 2011 à 2016, 2019 et 2020, marqué par les sacres de l’Africa (2011), du Séwé Sport de San Pedro (2012, 2013 et 2014), de l’AS Tanda (2015 et 2016), de la SOA (2019) et du RCA (2020) ? Cela fut possible, car, Me Roger OUÉGNIN a posé les bases. Il a su faire de l’ASEC Mimosas, « La Maison Excellence », c’est-à-dire le lieu où tous les organes (dirigeants, encadreurs, joueurs et même les supporters) préparent et cultivent l’excellence.


    La radio RJN n’a-t-elle pas raflé, en juin dernier, le 2e prix national pour le développement des médias 2021 ?


    Le Mur Jaune est également là pour l’attester. La cellule officielle d'animation du club qui a sonné la remobilisation avec une nouvelle mentalité faisant des supporters non plus des critiques, mais un véritable adjuvant pour l’encadrement technique et les joueurs, au sein de « La Maison Excellence ».


    Tout comme l’Académie MimoSifcom formatrice et révélatrice de plusieurs talents, de sa première promotion à celles récentes des KONATÉ Karim, DIAKITÉ Oumar et autres Odilon KOSSOUNOU. Le centre de formation de l’ASEC Mimosas excelle aussi dans les salles de classe où 13 de ses pensionnaires viennent de décrocher leur BEPC (Brevet d’Études du Premier Cycle), sur 19 présentés à cet examen. Attestant qu’un grand joueur peut être aussi une tête bien faite. Histoire de faciliter la gestion de sa carrière, mais surtout de faciliter sa reconversion, à l’instar des Patrick M’BOMA, Guy DEMEL, Habib BÈYE, Kaba DIAWARA et autres qui, une fois les crampons raccrochés, ont embrassé avec dextérité le métier de reporter ou commentateur pour des chaînes de télévision.


    Bref ! « On connaît par les fleurs l’excellence du fruit. », affirmait l’écrivain français Blaise DE MONTLUC. Fort de cette vérité, l’ASEC Mimosas porte, depuis 1993, à travers son Académie MimoSifcom, les fleurs de l’excellence destinées à perpétuer la légende et préparer les futurs succès de tout le football ivoirien.


    René KOFFI


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    FOLLY AYAYI signe à l'ASEC Mimosas
    Le gardien Folly pose ses valises à l'ASEC

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    ÉDITORIAL : Et de 28 !
    Les vaillants Mimos ont rondement mené leur barque pour conquérir leur 28e titre de champion de Côte d’Ivoire, 4 journées avant la fin de la compétition, s’assurant ainsi une fin de saison beaucoup plus calme que celle de la saison dernière qui s’était déjà conclue par la conquête d’une nouvelle couronne lors de l’ultime journée.

    2 an(s)

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    ASEC MIMOSAS Transfert

    L’ASEC Mimosas et le Red Bull Salzburg sont parvenus à un accord pour le transfert de l’attaquant Konaté Karim

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    ÉDITORIAL

    La trêve internationale touche à sa fin et le championnat national va enfin pouvoir connaître son dénouement au cours des 3 prochaines semaines puisque la CAF oblige les fédérations nationales à lui transmettre le nom des équipes qualifiées pour les compétitions interclubs, au plus tard le 30 juin.
    Si la seule place qualificative pour les tours préliminaires de la Ligue des Champions ne devrait pas nous échapper (même s’il faut bien évidemment rester vigilant jusqu’au bout), plusieurs clubs restent à la lutte pour la place qualificative aux tours préliminaires de la Coupe de la Confédération, quand d’autres vont se battre jusqu’à la dernière minute pour ne pas être relégués en Ligue 2. Bien malin celui qui devinera le nom des heureux élus… et ceux des malheureux !
    Pour le titre de champion, le débat pourrait être définitivement clos dès ce dimanche en cas de victoire des Mimos contre l’USC Bassam en fonction du résultat du match opposant les deux poursuivants luttant pour la 2e place que sont le SC Gagnoa et le FC San Pedro.
    Pour le maintien, mis à part le CO Korhogo qui semble légèrement distancé, 6 équipes se tiennent en 4 points, rendant très indécise cette fin de compétition. Tant mieux pour le spectacle !
    La semaine a bien évidemment été marquée par le bon résultat des Éléphants et plus encore par la qualité du spectacle produit par les équipes sur la magnifique pelouse du nouveau stade de la ville de Yamoussoukro. Cela change tout et l’organisation prochaine de la CAN en Côte d’Ivoire devrait permettre au football ivoirien de disposer prochainement de belles aires de jeu pour son championnat local. Là aussi, réjouissons-nous en pour le spectacle qui pourrait se dérouler sur toute l’étendue du territoire (puisqu’il y aura des stades neufs ou rénovés à San Pedro, Korhogo, Bouaké, Yamoussoukro et Abidjan) et non pas uniquement au stade CHAMPROUX comme c’est le cas pour la prochaine 22e journée de la Ligue 1. Le défi de l’entretien des pelouses sera certainement l’un des plus ardus à relever, s’agissant d’espaces constitués d’organismes vivants. Mais de cette capacité à relever ce challenge (ainsi que de nombreux autres comme la gestion même de ces stades) dépendra l’avenir du football national. Les récentes finales de Coupes d’Afrique des Clubs disputées sur des billards dans les pays d’Afrique du Nord montrent bien qu’il est difficile d’obtenir de bons résultats sur le plan international sans disposer de beaux stades équipés de beaux terrains de jeu.

    Benoît YOU

    2 an(s)

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    POKOU N’Guessan opéré avec succès au Maroc

    Victime d’une fissuration de la corne postérieure du ménisque latéral, POKOU N’Guessan Serge, le jeune milieu de terrain de l’ASEC Mimosas a subi une intervention chirurgicale avec succès à Casablanca, au Maroc, le mercredi 8 juin 2022. L’intervention a été réalisée par Dr BENANNIN qui s’est montré très optimiste quant au retour très prochainement du joueur sur les terrains de jeu. Parti le mardi 7 juin 2023, POKOU a regagné Abidjan, le vendredi 10 juin dernier, pour entamer sa rééducation auprès du staff médical de l’ASEC Mimosas. Prompt rétablissement à lui !

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    YAO Attohoula rend hommage à son père

    Notre latéral Yao Attohoula a rendu hommage à son père décédé le 9 juin dernier pendant qu'il affrontait le Lesotho avec les #Éléphants. Beaucoup de courage guerrier ! Que Papa repose en paix !

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    Meilleur jeunes de la saison
    KONATE KArim parmi les 5 premiers meilleurs jeunes de la saison selon le média français l'EQUIPE...

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    BONY WILFRIED S'ENTRAINE À SOL BENI.

    L'international ivoirien, Bony Wilfried s'entraine depuis le debut de cette semaine avec l'équipe professionnelle de l'ASEC Mimosas.

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    LIGUE 1 24e journée : Club Omnisports de Korhogo – ASEC Mimosas
    Assurer malgré le titre en poche

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